Colloque « Les mineurs non accompagnés : protection de l’enfance, accès à l’éducation et à l’alimentation »

Le 17 juin à partir de 9h la Chaire Diasporas Africaines vous invite au colloque « Les mineurs non accompagnés : protection de l’enfance, accès à l’éducation et à l’alimentation » , organisé par Chantal Crenn (professeure en anthropologie, Université de Montpellier, UMR SENS et Associée à l’UMR Passages) et Isabelle Rigoni (maître de conférences en sociologie, INSHEA/Grhapes, associée au Centre Émile Durkheim), coordinatrices du projet « Les mineurs isolés étrangers originaires d’Afrique sub-saharienne en Gironde. Protection de l’enfance, accès à l’éducation et à l’alimentation » soutenu par la Chaire Diasporas Africaines.

Le colloque se tiendra uniquement en visioconférence, accessible à tous, sans inscription préalable.
Lien de connexion :
https://inshea-fr.zoom.us/j/85313682790?pwd=S0RFcEViODkxcllCUkFNOUxqVW55dz09
ID de réunion : 853 1368 2790
Code secret : 105581

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Ados sans Frontière demande une audience à la Préfecture

La situation des jeunes mineur.e.s non accompagné.e.s (et des migrant.e.s d’une façon plus générale) est actuellement préoccupante à Nîmes et dans sa région.
Le retard dans l’attribution d’un titre de séjour entraine de nombreuses difficultés pour ces jeunes : précarité de leur situation administrative, incertitude sur leur avenir scolaire ou d’apprentissage, entrave à leur accès aux droits (APL et autres aides), etc…
C’est pour alerter Madame la Préfète qu’Ados sans Frontière a sollicité une audience.
Nous vous tiendrons au courant de la suite donnée à notre demande.

À suivre…

Crise des migrations ou crise de l’accueil ?

Des parcours de migrants, multiples, incessants, hommes, femmes, familles entières, de part et d’autre de la planète… Ils sont parfois riches, instruits et sollicités. Ils sont plus souvent en quête d’une vie meilleure, de travail, d’un climat plus clément, de sécurité quand ils fuient un pays en guerre. Ils espèrent s’installer ailleurs ou au contraire revenir chez eux, ils perdent rarement le contact avec ceux qu’ils ont laissés et ils leur enverront une bonne part de leurs gains. Ces parcours sont difficiles, partout les barrières et les réglementations se dressent et ils sont dangereux, comme le rappellent les drames fréquents, au large des côtes du Sud de l’Europe ou à la frontière américaine.
Dans un monde où la mobilité est considérée comme un facteur essentiel de modernité, la question des migrations demeure un enjeu majeur au XXIe siècle, un défi à la communauté internationale qui peine à installer une gouvernance mondiale sur le sujet.
Avec David Lagarde, géographe, docteur en géographie, chercheur contractuel et chercheur associé – CNRS, LISST, Institut français du Proche-Orient (Amman).

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Samedi 12 juin : marche des libertés contre les idées d’extrême droite (à Nîmes)

Depuis maintenant plusieurs mois nous constatons un climat politique et social alarmant. S’allier avec l’extrême droite ou reprendre ses idées ne constituent plus un interdit. Les propos et actes racistes et sexistes au travail et dans la vie se propagent. Les attaques contre les libertés et les droits sociaux s’accentuent gravement. Dans ce contexte politique, économique, social et sanitaire les injustices explosent et génèrent une forte misère sociale.
Face à ce climat de haine, raciste et attentatoire aux libertés individuelles et collectives, nous avons décidé collectivement d’organiser le samedi 12 juin une première grande journée nationale de manifestation et de mobilisations qui se déclinera localement. Cette journée fait partie des initiatives unitaires qui se multiplient. D’ores et déjà, nos organisations syndicales, politiques, associations, collectifs, signataires de l’appel, ont décidé de co-construire ce combat dans la durée.

À Nîmes, le samedi 12 juin, une manifestation partira à
10 h 30, 93-95 rue Pierre Sémard.

Plus d’infos : ici et (PDF)

Pétition : Lettre ouverte au Préfet des Hauts de Seine

Bannissement ! C’est le sort qui attend la vingtaine de jeunes majeurs à qui le préfet des Hauts de Seine a infligé une OQTF (Obligation de quitter le territoire français), assortie d’une d’interdiction de retour sur le territoire français. C’est voir, à 18 ans, leur parcours brutalement interrompu, leur avenir brisé, des efforts et des rêves fracassés. Il arrive que les tribunaux donnent tort à la préfecture. Cela ne suffit pas. Pour que ces jeunes majeurs puissent poursuivre leur formation et leurs apprentissages, signons massivement la lettre au Préfet du 92.

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Voir aussi : Slam “A quoi ça sert ?”, un clip réalisé avec Cordes sensibles et le collectif RESF MIE 92